Page 21 : pylos- lekkas retour sur le continent
Nous allons quitter le Péloponnèse
non sans avoir poser nos colombes de la paix dans une oliveraie
et d'être passer sur les plages proches des nids de tortues careta careta : y aurait il eu un coup de tabac au large pour que la mer soit aussi forte ce matin ?
en regagnant le continent par le pont de Patras. Ce pont ‘rion-antirion » est un chef d’œuvre d’architecture :
C’est le plus long pont à haubans du monde devant le viaduc de Millau, mais il a aussi une particularité exemplaire ! Il relie 2 plaques tectoniques entre elles, et il pourrait résister à un tremblement de terre de 7 sur l’échelle de Richter. D’une pureté absolue, ce pont me fascine. Il passe bien au delà de mes attentes. Et c’est sans nul doute l’édifice moderne qui me bouleversera le plus sur notre parcours 2012 !
Avant celui ci nous partirons à la recherche de notre premier hôtel-club exotique ; première destination exotique testée avec les schtroumpfs.
Nous essaierons de piqueniquer dans la forêt de pins parasols près de kalogria ! Mais les moustiques auront eu raison de notre idée et nous nous éloignons bien rapidement de cette zone marécageuse. Autant le club aura battu en retraite que les moustiques eux n’abandonneront jamais la partie !
nous passerons sur la route, qui nous a tant étonné lors de notre première sortie sur ce terrain il y a 6 ans deux souvenirs sont encore présents : la conduite des locaux qui à l'époque nous a stupéfié et les touches de couleurs d'alloween en plein été :
La route est d’excellente qualité, hormis quelques passages ayant trop subits la fréquentation excessive des camions affrétant sur la route entre Patras et Igoumenista.
L’arrivée sur lefkas se fait en milieu d’après midi. Une petite pause photo pour immortaliser le pont bateau qui m’avait tant effrayé l’année passée
et nous nous dirigeons chez Andrea. A peine avons-nous franchis les pavés de sa cour, qu’instantanément, il nous reconnait et nous tombe dans bras dans de longues accolades ! il semble rongé et boursouflé par une terrible maladie, il a perdu tout ses cheveux et dissimule son crane sous sa casquette, mais ses yeux et son sourire sont évocateurs de joie de vivre et en tous cas, sa façon de nous accueillir en nous offrant même en guise de cadeau de bienvenue, deux petits gâteaux qu’il avait certainement achetés pour sa consommation personnelle semble indiquer que ses retrouvailles émouvantes sont sincères.
Nous passerons notre fin d’après midi à étudier attentivement la carte de l’île pour déterminer de quoi sera composée notre journée de « re-relache » (à deux motos s’il vous plait), et à se projeter sur 48H pour organiser un rendez vous entre ceux qui rentrent et ce qui partent.
Demain, notre regard sera en direction de plages de rêve ; Deuxième et dernière journée de repos : que c’est dur d’être en vacances !